Le discours de bienvenue de Jean-Marc Banquet d’Orx avait des allures de rapport moral, avec de nombreuses références au climat économique et ses implications pour les CHR. Le jour où les gouvernements choisissaient de financer le sauvetage des finances grecques, le Président du GPIH 77 prédisait à l’assistance : « nous devons nous préparer à une nouvelle donne (…) sans pouvoir faire l’économie de sacrifices. Les évènements grecs ne sont que les prémisses des bouleversements à venir. » Toujours à propos d’avenir, mais cette fois plus immédiat, Jean-Marc Banquet d’Orx s’est félicité des liens qui se renforcent avec le CDT notamment dans les évènements sur les arts culinaires. Et à propos du tourisme en général qui a une carte à jouer dans « le plus provincial des départements franciliens. »
L’exemple grec
L’assistance a pu ensuite entendre Christine Pujol prendre la parole sur des sujets généraux tout en cherchant à rassurer sur l’agitation en interne. La Présidente en titre espère un retour au calme après les élections de l’automne. Avec le recul d’une année, elle mesure un peu plus l’inanité de la demande de l’Etat de baisser les prix, surtout quand on pense aux menus à 10 euros. « Les restaurateurs promettaient un effort en faveur de leurs collaborateurs en échange de la TVA à 5,5 %. Mais cette baisse de TVA a permis de sauver, au moins ponctuellement, beaucoup d’entreprises. Au second trimestre 2010, ces effets ne sont plus aussi
