Seule permanente du syndicat départemental, elle travaille avec deux autres personnes qui sont en charge du centre de formation de la FDIH 88. Ce qu’elle apprécie avant tout ? « La variété des tâches, la polyvalence que cela demande. » Il faut s’adapter à l’univers juridique, social et fiscal de la profession, acquérir les compétences spécifiques pour renseigner les adhérents, « même s’il faut parfois faire appel aux services de la rue d’Anjou quand les questions sont trop pointues. »
Modestie
Malgré sa connaissance de la profession, Céline n’a pas cherché à devenir formatrice au permis d’exploitation. « A 25 ans, quelle légitimité aurais-je à apprendre ce qu’il faut faire à des professionnels qui ont 20 ans d’expérience ? » Cette modestie ne l’empêche pas cependant d’intervenir en fin de stage auprès des participants pour les informer des principaux volets juridiques, sociaux et fiscaux qui les concernent. C’est aussi elle qui se charge de monter les dossiers de prise en charge financière des stagiaires. Une tâche parmi tant d’autres, entre l’organisation de l’agenda du Président Xavier Grimon, des réunions syndicales, du concours du Meilleur apprenti des Vosges… Mais aussi de la communication qu’elle gère avec talent (nous témoignons). « Le Président me laisse beaucoup d’autonomie dans les affaires du syndicat, même si je travaille sous son contrôle », se félicite-t-elle.
Une part de son temps est consacrée à la prospection en vue de favoriser les contrats de professionnalisation et recruter de