Alors que les beaux jours arrivent enfin, nombre de nos concitoyens vont choisir de déjeuner, diner ou même de passer une longue et agréable soirée sur les terrasses de nos établissements.
L’activité réalisée en terrasse par nos établissements est aujourd’hui essentielle, indispensable même !
Qu’il s’agisse d’un café, d’un bar, avec ambiance musicale ou non, d’une brasserie, d’un restaurant… Tous ces établissements réalisent une grande partie et pour certains la totalité de leur chiffres d’affaires en terrasse.
Avec l’interdiction de fumer applicable à tous les établissements recevant du public, l’activité sur nos terrasses représente désormais 30 % en moyenne sur l’année de notre chiffre d’affaires.
Et c’est bien là ma préoccupation. Car, il faut se le rappeler, le droit de terrasse donné par la mairie au professionnel est un droit précaire, temporaire, révocable à tout moment… Peu importe que ces terrasses soient devenues indispensables à l’accueil de nos clients, à l’emploi de nos salaries et à la pérennité de nos établissements.
Or, nombre de nos professionnels sont exposés au quotidien aux plaintes de riverains qui leur reprochent, à tort ou à raison, le bruit que peuvent faire nos clients, la fumée dégagée par le tabac, ou l’encombrement d’un trottoir… À terme c’est le droit de terrasse de ces professionnels qui est menacé.
Face à ce constat, il nous appartient de trouver des solutions et d’être force de propositions.
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