«Ayant moi-même une mère handicapée, j’étais sensible au problème de l’accessibilité. Mais il faut avouer que c’est une rénovation globale de l’établissement, engagée six mois après son acquisition, qui nous a incités à nous mettre dès aujourd’hui aux normes EPR qui seront exigées demain.» François Cossardeaux est le propriétaire de l’Hôtel de la Loire à Ancenis qui s’est vu remettre la plaque «Tourisme et handicap» en janvier dernier pour l’ensemble des aménagements réglementaires réalisés dans son hôtel. Après un million d’euros de travaux et douze mois de fermeture, dans ces murs qu’il espère pouvoir un jour acheter, il a vu son TO multiplier par deux pour atteindre aujourd’hui 50 %. Il ne touche toutefois encore pas particulièrement la clientèle pour laquelle il a fait cette mise aux normes. «Il est trop tôt pour parler de retour sur investissement partant du principe aussi qu’une chambre complètement accessible à toutes formes de handicaps impose
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