Les travaux concernant la réouverture des cafés, restaurants, bars et discothèques entre les organisations et les différents membres du Gouvernement se poursuivent.
Le GNC, l’Umih, le GNI et le SNRTC révèlent ainsi que suite à la réunion du 5 mars dernier, les ministres ont proposé un plan de réouverture en 3 phases sans pour autant donner de dates précises concernant le début de la 1ère phase – celle-ci dépendant de la situation sanitaire en France et du nombre de vaccinés.
Ce plan de réouverture sera accompagné d’un maintien des aides des entreprises (activité partielle, adaptation du fonds de solidarité et exonération des charges patronales) et de l’application du protocole sanitaire renforcé de septembre 2020, en plus de la mise en place d’un dispositif de traçage de la clientèle via QR code.
. 1ère phase : elle concernerait les restaurants d’hôtels et autoriserait leurs clients à prendre leur petit déjeuner dans la salle de restauration. (Les 4 organisations ont demandé que les restaurants d’hôtels puissent accueillir leurs clients le matin et le soir pour le diner dès la phase 1 et que les cafés et restaurants puissent ouvrir leurs terrasses à la clientèle dans ce même temps).
. 2ème phase : elle serait marquée par l’ouverture des terrasses des cafés et des restaurants ainsi que de leurs salles à l’intérieur de l’établissement dans la limite de 50% de leur capacité d’accueil (y compris pour les restaurants d’hôtels).
. 3eme phase : un retour à la situation d’octobre dernier et une ouverture complète des établissements sans jauge, dans le respect du protocole sanitaire renforcé.
Alain Griset a précisé que ces phases seraient d’une durée d’environ 4 semaines chacune.
Un « plan discothèques » serait également à l’étude pour la fin du mois de mars 2021, et un travail spécifique est également réalisé avec Bercy pour les traiteurs, organisateurs de réceptions.
A noter également, la demande du Ministre délégué aux PME d’être tenu informé des refus des banques d’accorder un nouveau report des remboursements de prêts bancaires hors PGE aux fins d’une intervention de sa part si nécessaire.
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