Si la renaissance du Palais de la Méditerranée tient le haut de l’affiche hôtelière, elle n’est pas la seule à faire bouger l’hôtellerie niçoise haut de gamme. Difficile d’oublier les créations du Servotel de St-Isidore, un trois étoiles de 88 chambres estampillé Logis de France (5 millions d’euros) et du quatre étoiles Goldstar avec ses 52 suites en centre ville prévues pour juillet prochain. Quant aux réfections, elles sont multiples : dans les trois étoiles du Massenet et du Régence situés dans la zone piétonne, dans les quatre étoiles aussi avec le Park Inn Rezidor tout proche de l’aéroport, venu remplacer l’hôtel Aréna et encore celles, colossales, de l’hôtel Beau-Rivage près du Cours Saleya, et du Radisson SAS sur la Promenade des Anglais (plus de 18 millions d’euros à lui seul). La majorité a tout simplement pris le parti de tout casser afin de rénover la totalité de l’infrastructure dans le genre high tech. Un clin d’oeil évident au tourisme d’affaires.
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