L’évolution des chiffres d’affaires sur un an (janv. 2012 – janv. 2013)
* Données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables (CVS/CJO)
Hôtellerie avec et sans restaurant
– 2,4 %
Sélection naturelle…
Ce ne sont pas les pires chiffres du secteur, mais ce n’est tout de même pas très encourageant. L’hôtellerie limite la casse, mais il faut tenir compte de la solidité des grands groupes, et des nombreuses fermetures de petits établissements indépendants noyés par la crise et n’ayant pas pu répondre aux enjeux de la modernisation hôtelière. Seuls les plus forts résistent…
Débits de boissons
– 7,8 %
Et encore plus bas…
Les débits de boissons n’en finissent pas d’enchaîner les décrochages… en combinant la crise avec les dispositions anti-fumeurs, anti-bruit et anti-terrasses dans de nombreuses villes, on comprend un peu mieux ces résultats catastrophiques… À quand la stabilisation ? Espérons un printemps ensoleillé et un été torride !
Restauration traditionnelle
– 4,5 %
Marasme généralisé
La restauration est la seconde branche la plus touchée par le marasme économique qui caractérise désormais l’ensemble du secteur. Les baisses de fréquentation ne sont plus compensables, ni par une hausse des tickets moyens, ni par une réduction de coûts, si l’on souhaite préserver un minimum de qualité et de satisfaction clients. Il