Les cas de refus des bailleurs étaient prévisibles, même si, au premier trimestre 2009, l’évolution de l’ILC est moins favorable aux locataires que le traditionnel indice du coût de la construction, crise oblige. A plus long terme, s’en tenir à l’ILC permettra aux loyers de suivre une évolution reflétant celle du coût de la vie. Naturellement, vous devrez actualiser les chiffres, dates et indices dans les courriers que vous adresserez aux bailleurs.
Il reste 10% de l'article à lire
Abonnez-vous à Industrie Hôtelière