Les Romains ont choisi le lieu de construction de Nîmes à cause des sept collines qui l’entourent, référence à leur cité d’origine. «Son emplacement, entre les Cévennes et le littoral, fait de Nîmes un point d’ancrage idéal pour rayonner sur toute la région», relève Madame Ponce-Casanova, Présidente de l’Office de tourisme et adjointe au maire chargée du tourisme. Sa situation en-dehors du venteux couloir du Rhône explique qu’elle soit la ville la plus chaude de France. Et la température monte encore lors des ferias, parmi les plus réputées de l’Hexagone. Connue pour sa romanité et ses arènes, la capitale du Gard abrite une sorte de musée d’Art contemporain extérieur : diverses oeuvres sont disséminées dans la ville. Quand Jean Bousquet était maire, la cité a complètement été rénovée qu’il s’agisse de la voirie ou des bâtiments. C’est notamment pendant ses mandats que le Carré d’Art a été créé, bâtiment moderne accueillant les réalisations des plus grands architectes contemporains comme Nouvel, Kirosawa ou Wilmott, et contrastant avec la Maison Carrée, temple romain qui lui fait face.
Le passé industriel de Nîmes est également réputé. La soierie et le coton bien sûr, mais aussi le jean denim mondialement connu.
Côté tourisme, la ville de 145 000 habitants accueille plus de 500 000 visiteurs par
