«En haut du département,
ils ont eu beaucoup de neige, ce qui leur a permis de remplir les hôtels à 80 % pendant le week-end et à plus de 90 % pendant les vacances», indique Alain Vidal Président de l’UMIH Alpes de Haute Provence. Une façon de dire qu’il y a surcapacité, notamment à cause des résidences hôtelières. «Dans le haut du département, il y a 2500 à 3000 chambres en résidence de tourisme. Nous avons déjà fait 3 stages sur le Permis d’exploitation et nous en ferons 2 en février et d’autres dans les mois qui suivent.» Dans les Alpes de Haute Provence, les professionnels ont du, comme ailleurs, appliquer la loi anti-tabac.
«Dans les discothèques, nous avons quelques récalcitrants. Des gendarmes sont passés devant des bars et nous avons eu deux verbalisations sur Dignes, en ce qui concerne les terrasses. Il s’agissait de terrasses fermées sur les côtés et ouvertes devant. Le représentant de l’administration considérait qu’il devait être interdit de fumer.»
Une interprétation de la loi plutôt fantaisiste.
