- La CRT : Plus gros opérateur, Edenred filiale du groupe Accor. Les tarifs pratiqués par les 4 opérateurs sont prohibitifs (chèques vacances : 1 %). La dématérialisation laissait espérer une réduction des coûts pour les restaurateurs, il n’en est rien. L’argument d’un crédit plus rapide sur compte n’est pas recevable. Doit-on continuer de siéger dans cette commission ? Ne peut-on pas, avec notre nouvelle force, trouver un accord avec une banque (il y a quelques années la Banque Populaire émettait des titres et dès lors que nous possédions un compte, nous les remboursait sans commission) ?
- Les OTAs et les sites de notation : Tarifs négociés par Accor, 10 %. Leur fonctionnement irrite de plus en plus nos ressortissants. La norme Afnor est sortie pour les notations, mais le premier site, Tripadvisor, n’y adhère pas.Comment protéger son nom sans qu’il soit utilisé par un site avec lequel on n’a pas contracté ? Comment arriver à des taux de commission acceptables (10 %) ? Comment aider nos adhérents dans leur commercialisation ? Comment aider FairBooking dans son développement ?
- Les nouvelles offres collaboratives : Airbnb, Bemate…prennent de plus en plus de parts de marché à l’hôtellerie traditionnelle sans avoir à supporter les contraintes réglementaires, sécuritaires et fiscales. Ce para-commercialisme dans une conjoncture économique morose (hors Paris) agace nos adhérents hôteliers. Comment responsabiliser ces « sites de rencontre » entre un
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