Les dernières déclarations européennes et gouvernementales françaises nous indiquent que la stratégie que nous menons est la bonne et que l’UMIH utilise tous les leviers d’influence pour faire aboutir notre dossier.
Les contacts au plus haut niveau de l’Etat, ces derniers mois, que ce soit en France ou à l’échelon européen avec l’HOTREC ne sont pas par nature spectaculaires mais sont déterminants.
Les plus importantes concessions en matière
de négociations européennes ne sont pas celles que l’on clame haut et fort. Elles sont d’autant plus efficaces qu’elles restent confidentielles voire secrètes.
Bien entendu, cela ne nous dispense pas, au moment opportun d’utiliser des «recettes» pour faire «du bruit» dans les médias.
«Les fuites» savamment orchestrées à la «Une» du Figaro du 4 mai en sont un exemple.
Le Président J.C. JUNKER a déclaré que la subsidiarité est possible en matière de taux de TVA pour des activités qui n’engagent pas la concurrence internationale.
Le Ministre de l’Economie, T.BRETON a affirmé que
les réticences allemandes étaient levées. Autant de déclarations politiques qui nous conduisent vers la décision finale.
Celles-ci font évoluer et expriment publiquement les «bonnes» intentions, mais elles
ne se substituent pas comme par magie à la négociation dans le processus européen.
Mes déclarations dans la presse et en particulier dans «Le Monde» sont possibles car nous avons construit une relation de confiance personnelle et solide avec les médias qui me proposent (ils sont allergiques aux
