Vendredi 13 novembre, 22h, la France met un genou à terre. Les atrocités perpétrées lors des attentats parisiens ont touché des anonymes, des amis, des clients, des collègues, des confrères, en somme : des innocents. Ces jeunes pour la plupart, se sont rendus coupables, aux yeux de leurs bourreaux, de profiter de ce que la vie offre de mieux : la convivialité d’une terrasse de café, un dîner en amoureux dans un restaurant de quartier ou un concert dans une petite salle à la scène chargée de souvenirs. Au-delà des victimes, c’est chaque Français qui a été touché en plein cœur ce soir-là, vacillement d’un colosse aux pieds d’argile, pour qui la terreur ne se regarde plus en duplex d’un pays lointain au journal télévisé, mais par la fenêtre d’un appartement du 11e arrondissement. Nos pensées vont bien évidemment aux victimes et à leurs familles. Au-delà de ces conséquences immédiates, c’est tout une économie qui chancelle. Les charmes de la France, ses paysages, son bon vin et sa gastronomie, laissent place à l’image d’un pays « en guerre ». Nos amis étrangers font le choix de destinations, sur le papier, plus paisibles. Si cette situation est dommageable, la peur et le sentiment d’insécurité sont humains. Nous avons, au sein du GNI, sollicité les pouvoirs publics pour obtenir un soutien adapté aux difficultés de nos entreprises en cette période difficile.
Ces événements tragiques ont
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