Le patron de l’établissement parisien Le Biscornu nous explique comment son adhésion au Synhorcat l’a aidé dans son aventure. Une vraie success story !Votre établissement est baptisé « Le Biscornu »… Cela ne vous ressemble pas !
Merci, ça commence fort ! C’est vrai que cet établissement est né de l’ajout de plusieurs autres établissements dont une pizzeria que j’ai rachetée et il ressemble à un labyrinthe un peu « biscornu » avec 2 cornes. C’est l’adjonction de lots ajoutés les uns aux autres pour l’agrandir qui lui vaut son nom. Le rouge est la couleur dominante. Elle correspond mieux à ma personnalité, conquérante ! C’est une couleur revigorante et vivifiante. Là, en revanche, on peut dire que ça me ressemble !
Qui êtes-vous et quel a été votre parcours ?
J’ai 37 ans et j’ai fait l’école hôtelière de Lausanne. Puis j’ai grimpé les échelons un par un : garçon de café, directeur puis patron en gérance libre que j’ai rachetée en 2004. En 2012, j’ai acquis mon premier fonds de commerce avec 60 couverts et en 2013, la pizzeria à coté pour m’agrandir.
Pourquoi adhérer au Synhorcat ?
Je sais que vous existez en régions et que vous êtes leaders à Paris, et reconnus dans les médias comme locomotive du secteur, l’entraînant vers la modernité. J’ai par exemple beaucoup apprécié vos combats pour la TVA et la transmission des terrasses que
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