C’est en se voulant pacifiant que Michel Bedu a pris la parole au congrès de l’Umih, faisant d’abord justice des bruits de couloir sur son état de santé et ses relations avec Christine Pujol qu’il n’avait pas soutenue lors des élections. Usant d’un ton constructif à l’adresse de la Présidente, Michel Bedu a renoncé «en direct» à démissionner malgré son cumul des mandats de Président d’Umih Formation et du Fafih en justifiant ainsi sa décision : «(…) ensemble, nous pouvons construire, notre entente est excellente».
Une fois effectuées ces mises au point, le congrès a été l’occasion d’annonces importantes s’agissant du fonctionnement d’Umih Formation. L’organisme, qui s’apprête à rénover ses statuts, s’installera prochainement dans de nouveaux locaux plus spacieux pour faire évoluer ses 27 salariés.
Autre annonce officielle concernant le fonctionnement, celle de l’arrivée prochaine d’un progiciel d’Umih Formation qui sera généralisé dans les fédérations où il deviendra obligatoire pour l’édition de tous documents. Pour accompagner son installation, avant avril, Umih Formation assurera une formation obligatoire pour labelliser les intervenants locaux à Lille, Nantes, Bordeaux, Marseille, Lyon, Nancy et Toulouse.
Le président d’Umih Formation a consacré une part importante de son temps de parole à des questions financières, en commençant par une nouvelle mise au point. Celle-ci était destinée à défendre son bilan (53 formations et 15490 permis d’exploitation) et à répondre à l’amertume de certains formateurs devant les écarts de rétribution. Le mieux loti d’entre eux ayant en effet perçu
