«Après deux saisons où la climatologie n’a pas été positive. (Le soleil), c’est le grand espoir, parce que pour l’heure, l’inquiétude prime. La faute à la crise, bien sûr et aux chiffres de la cellule de crise de la préfecture. Une entreprise sur deux venant chercher conseil est un restaurant. Ce sont sept à huit professionnels par semaine ! » Pour atténuer ce sombre tableau, le Président de l’Umih 56 reconnaît « qu’il y a bien l’annonce de la baisse de la TVA, mais nous ne savons pas quand celle-ci va être applicable. »
Localement, le Président de l’Umih a aussi quelque chat à fouetter. « Nous avons un souci avec les terrasses de certains cafés qui ont une emprise sur le domaine public. Par ailleurs, certaines communes ont demandé à revoir les chartes existantes. Il va nous falloir être vigilants, compte tenu aussi du fait que par endroits, des municipalités ont augmenté leur taxe de séjour. » La petite éclaircie dans cette morosité vient des pré-réservations estivales, en avance sur l’an dernier.
Des ateliers pour y voir clair
Le programme des ateliers matinaux était des plus riches. Emilie Pasgrimaud, responsable de la cellule Hygiène à la Chambre de Métiers du Morbihan a exposé les prestations qu’elle propose. « Aujourd’hui les contrôles donnent lieu à un procès-verbal auquel le professionnel doit obligatoirement répondre par écrit. Nous pouvons aider à la rédaction de cette réponse. » Hervé Blanchard, conseiller tourisme à la
