En juillet on annonçait dans plusieurs titres de presse la mort de l’Umih 17… Fin août, les responsables trop rapidement enterrés répondent encore bel et bien aux appels. Et, même en appelant le standard de l’Umih Nationale à Paris, on vous confirme qu’Antoine Majou, est toujours le président de l’entité de Charente-Maritime… Alors, dans ce contexte, une petite mise au point semblait s’imposer. Nous avons interviewé Antoine Majou, président de l’Umih 17.
Selon des informations parues dans quelques journaux au mois de juillet, l’Umih 17 n’existerait plus, l’Umih nationale ayant décidé de ne plus reconnaître votre présidence. Ce serait monsieur Thierry Maître qui aurait proposé d’assurer l’intérim de la présidence en
Charente-Maritime. Qu’en est-il ?
Ce sont des communiqués émis de façon unilatérale par Paris à certains journaux qui se sont empressés de relayer l’information. L’Umih 17 existe toujours, et continuera d’exister malgré les attaques de Paris. Notre syndicat départemental n’est ni une filiale ni une franchise et existe depuis 1998, à l’époque où l’Umih Nationale s’appelait encore FNIH.
Je rappelle que l’Umih 17 est une organisation indépendante, légitimement constituée. Notre union est une association Loi 1901 régie par le Livre IV du Code du Travail en tant qu’organisation professionnelle représentative. Notre siège est à Rochefort depuis 2009 et les membres
